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Soprano
Lady Macbeth
Tout y est dans l’interprétation de Béatrice Uria Monzon – mais c’est surtout la transformation vocale qui impressionne dans le chant de cette torche vivante, avec cette matière vocale palpitante, ces aigus dardés qui semblent venir du plus profond du corps, avec aussi ces sauts de registre qu’elle maitrise de manière incroyable (et pas seulement dans le fameux Suicidio), avec un embrasement sans cesse tenu, porté, affirmé de toute la tessiture la plus meurtrière qui soit. Sans doute n’est-il pas sans risque d’aller ainsi au bout de cette expérience vocale mais elle semble avec cette nouvelle jeunesse vocale pouvoir encore escalader d’autres montagnes !
Alain Duault, 2018
Mezzo
Venus dans Tannhäuser
Pour son premier rôle Wagnérien, Béatrice Uria Monzon est une vénus voluptueuse et passionnée, dont la voix correspond exactement à ce profil de « falcon », entre mezzo et soprano dramatique.
Le Figaro
Soprano
Tosca
(…) Par sa beauté et son allure, Béatrice Uria Monzon incarne à la perfection cette diva amoureuse et jalouse qui se transforme en tigresse pour se défendre contre les assauts de Scarpia au deuxième acte et qui se montre éperdue d’amour pour son peintre révolutionnaire à l’acte III. Sa ressemblance physique avec Raina Kabaivanska, l’une des plus éminentes cantatrices qui laissa, dans « Tosca », un souvenir indélébile, est frappante et ce n’est pas, évidemment, là un mince compliment (…)
Metamag, 2012
Soprano
Tosca
(…) Béatrice Uria Monzon, présence scénique éblouissante dans sa jupe constellée d’azur puissouveraine scénique dans une impériale robe, couronnée d’un diadème de rubis passionnés, aussi juste dans le geste, toujours élégant et significatif, que dans l’expression mobile, sans grossissement, d’un visage, d’un regard, qui appellent le détail intime de la caméra et du grand écran : une grande actrice (…).
Classiquenews, 2012
Soprano
Tosca
Pour sa première Tosca, la mezzo française Béatrice Uria Monzon effectue un changement de tessiture très convaincant. BUM offre en Tosca un portrait vocal riche, mêlant en un bel équilibre, souci du phrasé, legato et mezza voce, et ne sacrifiant jamais la musicalité, aux accents qui savent se faire impérieux, autoritaires, justement dramatiques. La voix, dans ce rôle, fait valoir ses assises, son ampleur, ses couleurs. Quant à l’actrice, elle demeure hors pair, trouvant dans cette héroïne hautement dramatique un de ses meilleurs emplois.
Classiqueinfo, 2012
Soprano
Tosca
(…) La prise de rôle très attendue de Béatrice Uria Monzon dans le rôle de la diva romaine. Car la grande Carmen de notre époque, après sa poignante Santuzza de Cavalleria Rusticana à Orange, après sa Chimène du Cid à Marseille, évolue de plus en plus vers les grands rôles de soprano dramatique.
Ce qui lui permet cet élargissement de son répertoire est la maitrise totale de sa palette vocale : car, même si les aigus de Tosca, les si, les ut, ne sont pas à négliger, elle peut les négocier sans effort en les colorant largement grâce à l’assise de son médium et de son bas médium, ce qui confère à ses aigus une richesse, une sensualité, un fruité qu’on n’entend guère chez les Tosca qui sont de purs sopranos. Autant dire que cette Tosca est pour Béatrice Uria Monzon une pleine réussite (…)
Opera-online, 2012
Soprano
Chimène dans le Cid
Béatrice Uria Monzon se hissa à son niveau avec une Chimène dont l’engagement, sur le plan de la voix, comme du théâtre, fut en tous points remarquables.
Metamag, 2011
Soprano
Chimène dans le Cid
(…) Elle affronte le rôle et le registre de soprano avec un engagement tel qu’elle conquiert très vite, et atteint les sommets dans son « Pleurez mes yeux » ; le raffinement et la justesse de l’interprétation, dramatique et vocale, sont extraordinaires et la situent à son plus haut niveau.
Forum Opéra, 2011
Mezzo
Adalgisa dans Norma
(…) La mezzo française Béatrice Uria Monzon, dans le rôle d’Adalgisa, sauve le chef-d’oeuvre de Bellini. (…) Grande professionnelle et parfaite musicienne, la mezzo française a su insuffler à son personnage un feu, une passion et une rigueur vocale absente chez ses partenaires. En un instant le drame est là : bouillant, éruptif, tragique.
Le Figaro, 2009
Mezzo
Adalgisa dans Norma
C’est une formidable intuition, celle d’avoir proposé à Béatrice Uria Monzon, une des plus belles voix françaises d’aujourd’hui qui, après avoir triomphé dans le monde entier en Carmen, a envie de se diversifier, de chanter Adalgisa, le rôle de la jeune prêtresse qui, à son corps défendant, va devenir la rivale de Norma.C’est une grande Adalgisa, avec sa voix de feu et d’or sombre, cette intensité de l’expression, ces phrasés ardents, cette projection du son qui lui donne un impact dramatique que vient encore dynamiser un jeu profondément engagé : elle est la triomphatrice de la soirée.
RTL, 2009
Soprano
Santuzza dans Cavalleria Rusticana
Béatrice Uria Monzon assure une santuzza a la vocalité dramatique, une tessiture qui lui va bien. Une femme objet dans un univers de matchos incorrigibles.
La Croix, 2009
Soprano
Santuzza dans Cavalleria Rusticana
Béatrice Uria Monzon aborde ici le personnage de Santuza en même temps qu’ elle oriente sa carrière vers les rôles de soprano dramatique qui devraient assez rapidement la conduire vers Tosca. Un aigu impérial venant couronner une projection d’une rare puissance. Pour l’heure, Santuzza conforte ses choix. Mais le talent de cet artiste ne s’arrête pas là. Comédienne hors pair, virgule, elle sait incarner avec une fougue incroyable cette jeune femme en proie, ox deliros assassins (oh délire assassin), la jalousie. Un monument ! Un juste triomphe l’attendait au salut final.
2009
Soprano
Santuzza dans Cavalleria Rusticana
Béatrice Uria Monzon sortant de ses emplois et de sa tessiture habituelle, entre, comme chez, elle dans les aigus déchirants de ce soprano dramatique et entre en nous, déchirante de douleurs, de jalousie, de rage, de remords, avec une authenticité qui justifie le vérisme dans son universelle humanité. Elle est la tragédie en marche ; elle devient la mater dolorosa : l’image de l’humaine douleur.
2009
Mezzo
Didon dans les Troyens
Béatrice Uria Monzon a trouvé en Didon le rôle de sa vie. Elle y est bouleversante et magnifique, irradiante.
Le Monde, 2006
Mezzo
Didon dans les Troyens
Chaleureuse, Béatrice Uria Monzon l’est, assurément, et sa Didon, tragique et passionnée, a fière allure ; s’emparer d’un tel rôle avec autant de force expressive est remarquable (…)
Les Echos, 2006
Mezzo-Soprano
Carmen
Carmen, c’est Béatrice Uria Monzon pour la deuxième fois à Orange. Elle en est aujourd’hui la plus belle incarnation, voix chaude de mezzo, toute de sensualité sauvage et de fierté de femme libre.
L’humanité, 2004
Mezzo-Soprano
Carmen
Béatrice Uria Monzon est une titulaire indiscutable du rôle titre sur toutes les scènes du monde. Devant le vaste mur, à mi-chemin entre l’allumeuse et la libertaire, elle campe une Gitane émancipée et insolente, sincère dans ses amours, même s’ils ne durent pas. Elle est belle, jamais vulgaire, le timbre est chaud, sombre comme un soleil noir.
Le Monde, 2004
Mezzo
Eboli dans Don Carlo
Béatrice Uria Monzon vocalisant impeccablement dans l’air du voile, a su tout aussi bien aborder le redoutable « O don fatale » avec une autorité vocale saisissante. Le grave est sonore et rond, les aigus percutants, et la voix, admirablement projetée, garde son homogénéité sur toute la tessiture. Quant à la présence dramatique de l’interprète, elle est à la hauteur de sa performance vocale.
Opéra International, 1998
Mezzo-SopranoCarmen
Carmen
La mezzo Béatrice Uria Monzon est la Carmen de la décennie. Beauté ravageuse, mais port de reine, elle impose sa distinction naturelle à la gitane. Sans collifichet ni castagnettes, elle domine par l’unité de son personnage, jamias rien d’outré, mais attentive à demeurer sur sa trajectoire tragique, assumée avec une totale conscience. Une telle justesse dans le personnage scénique et musicale fait pâlir l’entourage.
Le Figaro, 1997
Mezzo-Soprano
Carmen
Béatrice Uria Monzon confirme qu’elle est la vraie Carmen actuelle, sans offeteries, amoureuse par nature, sensuelle par tempérament, d’une force intérieure impressionnante avec la voix exacte du rôle et totalement crédible physiquement.
Le quotidien de Paris, 1993
Mezzo-Soprano
Carmen
La belle Béatrice Uria Monzon, élève de l’Ecole d’art lyrique de l’Opéra, est l’une des rares Françaises à entrer dans cette arène, qu’aucune n’a marquée depuis Jeanne Rhodes. Un jeu moderne, dur et violent comme celui de sandrine Bonnaire au cinéma, une voix charnue de mezzo, aux colorations sombres, à l’ampleur de la tragédie : un personnage qui donne à carmen une classe inhabituelle.
Valeurs Actuelles, 1993
Mezzo
Venus dans Tannhäuser
Pour son premier rôle Wagnérien, Béatrice Uria Monzon est une vénus voluptueuse et passionnée, dont la voix correspond exactement à ce profil de « falcon », entre mezzo et soprano dramatique.
Le Figaro
Mezzo
Adalgisa dans Norma
(…) la mezzo française Béatrice Uria Monzon, dans le rôle d’Adalgisa, sauve le chef-d’oeuvre de Bellini. (…)Grande professionnelle et parfaite musicienne, la mezzo française a su insuffler à son personnage un feu, une passion et une rigueur vocale absente chez ses partenaires. En un instant le drame est là : bouillant, éruptif, tragique.
Le Figaro, 2009
Mezzo
Adalgisa dans Norma
C’est une formidable intuition, celle d’avoir proposé à Béatrice Uria Monzon, une des plus belles voix françaises d’aujourd’hui qui, après avoir triomphé dans le monde entier en Carmen, a envie de se diversifier, de chanter Adalgisa, le rôle de la jeune prêtresse qui, à son corps défendant, va devenir la rivale de Norma.C’est une grande Adalgisa, avec sa voix de feu et d’or sombre, cette intensité de l’expression, ces phrasés ardents, cette projection du son qui lui donne un impact dramatique que vient encore dynamiser un jeu profondément engagé : elle est la triomphatrice de la soirée.
RTL, 2009
Mezzo
Didon dans les Troyens
Béatrice Uria Monzon a trouvé en Didon le rôle de sa vie. Elle y est bouleversante et magnifique, irradiante.
Le Monde, 2006
Mezzo
Didon dans les Troyens
Chaleureuse, Béatrice Uria Monzon l’est, assurément, et sa Didon, tragique et passionnée, a fière allure ; s’emparer d’un tel rôle avec autant de force expressive est remarquable (…)
Les Echos, 2006
Mezzo-Soprano
Carmen
Carmen, c’est Béatrice Uria Monzon pour la deuxième fois à Orange. Elle en est aujourd’hui la plus belle incarnation, voix chaude de mezzo, toute de sensualité sauvage et de fierté de femme libre.
L’humanité, 2004
Mezzo-Soprano
Carmen
Béatrice Uria Monzon est une titulaire indiscutable du rôle titre sur toutes les scènes du monde. Devant le vaste mur, à mi-chemin entre l’allumeuse et la libertaire, elle campe une Gitane émancipée et insolente, sincère dans ses amours, même s’ils ne durent pas. Elle est belle, jamais vulgaire, le timbre est chaud, sombre comme un soleil noir.
Le Monde, 2004
Mezzo
Eboli dans Don Carlo
Béatrice Uria Monzon vocalisant impeccablement dans l’air du voile, a su tout aussi bien aborder le redoutable « O don fatale » avec une autorité vocale saisissante. Le grave est sonore et rond, les aigus percutants, et la voix, admirablement projetée, garde son homogénéité sur toute la tessiture. Quant à la présence dramatique de l’interprète, elle est à la hauteur de sa performance vocale.
Opéra International, 1998
Mezzo-SopranoCarmen
Carmen
La mezzo Béatrice Uria Monzon est la Carmen de la décennie. Beauté ravageuse, mais port de reine, elle impose sa distinction naturelle à la gitane. Sans collifichet ni castagnettes, elle domine par l’unité de son personnage, jamias rien d’outré, mais attentive à demeurer sur sa trajectoire tragique, assumée avec une totale conscience. Une telle justesse dans le personnage scénique et musicale fait pâlir l’entourage.
Le Figaro, 1997
Mezzo-Soprano
Carmen
Béatrice Uria Monzon confirme qu’elle est la vraie Carmen actuelle, sans offeteries, amoureuse par nature, sensuelle par tempérament, d’une force intérieure impressionnante avec la voix exacte du rôle et totalement crédible physiquement.
Le quotidien de Paris, 1993
Mezzo-Soprano
Carmen
La belle Béatrice Uria Monzon, élève de l’Ecole d’art lyrique de l’Opéra, est l’une des rares Françaises à entrer dans cette arène, qu’aucune n’a marquée depuis Jeanne Rhodes. Un jeu moderne, dur et violent comme celui de sandrine Bonnaire au cinéma, une voix charnue de mezzo, aux colorations sombres, à l’ampleur de la tragédie : un personnage qui donne à carmen une classe inhabituelle.
Valeurs Actuelles, 1993
Soprano
Lady Macbeth
Tout y est dans l’interprétation de Béatrice Uria Monzon – mais c’est surtout la transformation vocale qui impressionne dans le chant de cette torche vivante, avec cette matière vocale palpitante, ces aigus dardés qui semblent venir du plus profond du corps, avec aussi ces sauts de registre qu’elle maitrise de manière incroyable (et pas seulement dans le fameux Suicidio), avec un embrasement sans cesse tenu, porté, affirmé de toute la tessiture la plus meurtrière qui soit. Sans doute n’est-il pas sans risque d’aller ainsi au bout de cette expérience vocale mais elle semble avec cette nouvelle jeunesse vocale pouvoir encore escalader d’autres montagnes !
Alain Duault, 2018
Soprano
Tosca
(…) Par sa beauté et son allure, Béatrice Uria Monzon incarne à la perfection cette diva amoureuse et jalouse qui se transforme en tigresse pour se défendre contre les assauts de Scarpia au deuxième acte et qui se montre éperdue d’amour pour son peintre révolutionnaire à l’acte III. Sa ressemblance physique avec Raina Kabaivanska, l’une des plus éminentes cantatrices qui laissa, dans « Tosca », un souvenir indélébile, est frappante et ce n’est pas, évidemment, là un mince compliment (…)
Metamag, 2012
Soprano
Tosca
(…) Béatrice Uria Monzon, présence scénique éblouissante dans sa jupe constellée d’azur puissouveraine scénique dans une impériale robe, couronnée d’un diadème de rubis passionnés, aussi juste dans le geste, toujours élégant et significatif, que dans l’expression mobile, sans grossissement, d’un visage, d’un regard, qui appellent le détail intime de la caméra et du grand écran : une grande actrice (…).
Classiquenews, 2012
Soprano
Tosca
Pour sa première Tosca, la mezzo française Béatrice Uria Monzon effectue un changement de tessiture très convaincant. BUM offre en Tosca un portrait vocal riche, mêlant en un bel équilibre, souci du phrasé, legato et mezza voce, et ne sacrifiant jamais la musicalité, aux accents qui savent se faire impérieux, autoritaires, justement dramatiques. La voix, dans ce rôle, fait valoir ses assises, son ampleur, ses couleurs. Quant à l’actrice, elle demeure hors pair, trouvant dans cette héroïne hautement dramatique un de ses meilleurs emplois.
Classiqueinfo, 2012
Soprano
Tosca
(…) la prise de rôle très attendue de Béatrice Uria Monzon dans le rôle de la diva romaine. Car la grande Carmen de notre époque, après sa poignante Santuzza de Cavalleria Rusticana à Orange, après sa Chimène du Cid à Marseille, évolue de plus en plus vers les grands rôles de soprano dramatique.
Ce qui lui permet cet élargissement de son répertoire est la maitrise totale de sa palette vocale : car, même si les aigus de Tosca, les si, les ut, ne sont pas à négliger, elle peut les négocier sans effort en les colorant largement grâce à l’assise de son médium et de son bas médium, ce qui confère à ses aigus une richesse, une sensualité, un fruité qu’on n’entend guère chez les Tosca qui sont de purs sopranos. Autant dire que cette Tosca est pour Béatrice Uria Monzon une pleine réussite (…)
Opera-online, 2012
Soprano
Chimène dans le Cid
Béatrice Uria Monzon se hissa à son niveau avec une Chimène dont l’engagement, sur le plan de la voix, comme du théâtre, fut en tous points remarquables.
Metamag, 2011
Soprano
Chimène dans le Cid
(…) elle affronte le rôle et le registre de soprano avec un engagement tel qu’elle conquiert très vite, et atteint les sommets dans son « Pleurez mes yeux » ; le raffinement et la justesse de l’interprétation, dramatique et vocale, sont extraordinaires et la situent à son plus haut niveau.
Forum Opéra, 2011
Soprano
Santuzza dans Cavalleria Rusticana
Béatrice Uria Monzon assure une santuzza a la vocalité dramatique, une tessiture qui lui va bien. Une femme objet dans un univers de matchos incorrigibles.
La Croix, 2009
Soprano
Santuzza dans Cavalleria Rusticana
Béatrice Uria Monzon aborde ici le personnage de Santuza en même temps qu’ elle oriente sa carrière vers les rôles de soprano dramatique qui devraient assez rapidement la conduire vers Tosca. Un aigu impérial venant couronner une projection d’une rare puissance. Pour l’heure, Santuzza conforte ses choix. Mais le talent de cet artiste ne s’arrête pas là. Comédienne hors pair, virgule, elle sait incarner avec une fougue incroyable cette jeune femme en proie, ox deliros assassins (oh délire assassin), la jalousie. Un monument ! Un juste triomphe l’attendait au salut final.
2009
Soprano
Santuzza dans Cavalleria Rusticana
Béatrice Uria Monzon sortant de ses emplois et de sa tessiture habituelle, entre, comme chez, elle dans les aigus déchirants de ce soprano dramatique et entre en nous, déchirante de douleurs, de jalousie, de rage, de remords, avec une authenticité qui justifie le vérisme dans son universelle humanité. Elle est la tragédie en marche ; elle devient la mater dolorosa : l’image de l’humaine douleur.
2009
Mezzo-Soprano
Carmen
Carmen, c’est Béatrice Uria Monzon pour la deuxième fois à Orange. Elle en est aujourd’hui la plus belle incarnation, voix chaude de mezzo, toute de sensualité sauvage et de fierté de femme libre.
L’humanité, 2004
Mezzo-Soprano
Carmen
Béatrice Uria Monzon est une titulaire indiscutable du rôle titre sur toutes les scènes du monde. Devant le vaste mur, à mi-chemin entre l’allumeuse et la libertaire, elle campe une Gitane émancipée et insolente, sincère dans ses amours, même s’ils ne durent pas. Elle est belle, jamais vulgaire, le timbre est chaud, sombre comme un soleil noir.
Le Monde, 2004
Mezzo-SopranoCarmen
Carmen
La mezzo Béatrice Uria Monzon est la Carmen de la décennie. Beauté ravageuse, mais port de reine, elle impose sa distinction naturelle à la gitane. Sans collifichet ni castagnettes, elle domine par l’unité de son personnage, jamias rien d’outré, mais attentive à demeurer sur sa trajectoire tragique, assumée avec une totale conscience. Une telle justesse dans le personnage scénique et musicale fait pâlir l’entourage.
Le Figaro, 1997
Mezzo-Soprano
Carmen
Béatrice Uria Monzon confirme qu’elle est la vraie Carmen actuelle, sans offeteries, amoureuse par nature, sensuelle par tempérament, d’une force intérieure impressionnante avec la voix exacte du rôle et totalement crédible physiquement.
Le quotidien de Paris, 1993
Mezzo-Soprano
Carmen
La belle Béatrice Uria Monzon, élève de l’Ecole d’art lyrique de l’Opéra, est l’une des rares Françaises à entrer dans cette arène, qu’aucune n’a marquée depuis Jeanne Rhodes. Un jeu moderne, dur et violent comme celui de sandrine Bonnaire au cinéma, une voix charnue de mezzo, aux colorations sombres, à l’ampleur de la tragédie : un personnage qui donne à carmen une classe inhabituelle.
Valeurs Actuelles, 1993
Soprano
Lady Macbeth
The famous French mezzo who, more and more regularly, has been dealing over the recent years with the great dramatic soprano roles, seems to have found a character in his measure. The warm and intense Béatrice Uria Monzon timbre is known: it works wonders here, spinning your head around the disturbing personality of Lady Macbeth. But it is what makes this unique voice capturing the awe of the interpretation of the Lady who never depicts a hysterical darkness, but rather – and this is much worse – a woman shaken by desires and heartbroken, fiercely haunted by power but overwhelmed by the forces that inhabit her.
The areas succession assert that multi dimensional personality. « Vieni t’affretta » the first and perhaps the most intense one but in any case the most difficult vocally, affirms right away that this voice is made for this role : timbre insolently projected, dark colorations, breath length, inner energy in the deadly intervals, everything is there, the character is there.
Alain Duault, 2018
Mezzo
Eboli dans Don Carlo
One of Béatrice Uria Monzon signature roles is Carmen, so when she sang the Princess of Eboli, she brought a Carmen-like sharpness to the role, which was entirely in order. Her veil song was a showpiece but the song is a mask, since the princes’s true feelings are also hidden behind a veil. When she realizes her mistakes, her personality disintegrates. When Uria Monzon sings of the convent, she suggests the horoor of living death.
Opera today, 2013
Soprano
Tosca
For her first Tosca, the French mezzo Béatrice Uria-Monzon accomplishes a very convincing change of tessitura. As Tosca, she offers a rich vocal portrait, which combines perfect evenness, careful phrasing, legato and mezza voce, and which never sacrifices the musicality to the accents which she knows how to execute whether imperious, authoritarian, or justly dramatic. In this role, the voice is highlighted by its solid support, its scope, its colours. As for the actress, she remains unparalleled, and has found in this highly dramatic heroine one of her best parts.
Classique Info
Mezzo
Didon dans les Troyens
Béatrice Uria Monzon summons up a brilliantly expressive Didon with her clear and evocative timbre
Kehler Zeitung, 2006
Mezzo
Didon dans les Troyens
In their wandering, the Trojans finally arrive in Carthage and if from now on we no longer mention Berlioz’s marvellous music, it is thanks to Béatrice Uria Monzon’s irresistible Didon, Carthage’s queen, and as singer and actor, Queen of this production of “The Trojans”
Die Rheinfalz, 2006
Mezzo
Didon dans les Troyens
Béatrice Uria Monzon, the great French Carmen, whose mezzo voice never loses its bass register and affords us glimpses of rapture and subtlety
Badische Neueste Nachrichten, 2006
Mezzo
Didon dans les Troyens
Béatrice Uria Monzon, royal as Didon, a role in which she gives a benchmark performance. Feline, sensual, a molten timbre, with impeccable projection, she is not only beautiful as she damns all the Trojans and Romans on earth, but her performance is radiant and profoundly moving
Webthea, 2006
Mezzo
Eboli dans Don Carlo
One of Béatrice Uria Monzon signature roles is Carmen, so when she sang the Princess of Eboli, she brought a Carmen-like sharpness to the role, which was entirely in order. Her veil song was a showpiece but the song is a mask, since the princes’s true feelings are also hidden behind a veil. When she realizes her mistakes, her personality disintegrates. When Uria Monzon sings of the convent, she suggests the horoor of living death.
Opera today, 2013
Mezzo
Didon dans les Troyens
Béatrice Uria Monzon summons up a brilliantly expressive Didon with her clear and evocative timbre
Kehler Zeitung, 2006
Mezzo
Didon dans les Troyens
In their wandering, the Trojans finally arrive in Carthage and if from now on we no longer mention Berlioz’s marvellous music, it is thanks to Béatrice Uria Monzon’s irresistible Didon, Carthage’s queen, and as singer and actor, Queen of this production of “The Trojans”
Die Rheinfalz, 2006
Mezzo
Didon dans les Troyens
Béatrice Uria Monzon, the great French Carmen, whose mezzo voice never loses its bass register and affords us glimpses of rapture and subtlety
Badische Neueste Nachrichten, 2006
Mezzo
Didon dans les Troyens
Béatrice Uria Monzon, royal as Didon, a role in which she gives a benchmark performance. Feline, sensual, a molten timbre, with impeccable projection, she is not only beautiful as she damns all the Trojans and Romans on earth, but her performance is radiant and profoundly moving
Webthea, 2006
Soprano
Lady Macbeth
The famous French mezzo who, more and more regularly, has been dealing over the recent years with the great dramatic soprano roles, seems to have found a character in his measure. The warm and intense Béatrice Uria Monzon timbre is known: it works wonders here, spinning your head around the disturbing personality of Lady Macbeth. But it is what makes this unique voice capturing the awe of the interpretation of the Lady who never depicts a hysterical darkness, but rather – and this is much worse – a woman shaken by desires and heartbroken, fiercely haunted by power but overwhelmed by the forces that inhabit her.
The areas succession assert that multi dimensional personality. « Vieni t’affretta » the first and perhaps the most intense one but in any case the most difficult vocally, affirms right away that this voice is made for this role : timbre insolently projected, dark colorations, breath length, inner energy in the deadly intervals, everything is there, the character is there.
Alain Duault, 2018
Soprano
Tosca
For her first Tosca, the French mezzo Béatrice Uria-Monzon accomplishes a very convincing change of tessitura. As Tosca, she offers a rich vocal portrait, which combines perfect evenness, careful phrasing, legato and mezza voce, and which never sacrifices the musicality to the accents which she knows how to execute whether imperious, authoritarian, or justly dramatic. In this role, the voice is highlighted by its solid support, its scope, its colours. As for the actress, she remains unparalleled, and has found in this highly dramatic heroine one of her best parts.
Classique Info
Représentée par Aparté Music.
Designé et réalisé par Docé Studio
© 2021 Béatrice Uria Monzon. Tous droits réservés.